Violence d’un groupe est-ce une action d’un „superorganisme“?

Un groupe rassemble à l’intérieur et attaque à l’extérieur. Après que les hommes ont fondé, par inclinaisont naturelle, des groupes, les groupes attaques les non-membres perçus comme des „intrus“ et des concepts venant hors du groupe. On dirait dans la structure du groupe une formation de „superorganisme“ qui laisse penser la minorité et la mise en oeuvre la majorité du groupe. Les dirigeants jugent souvent comme un „cerveau du groupe“ les questions morales et indéologiques tandis que la base se comporte comme des „extremités du groupe“, qui exécutent. Les groupe les plus violents semble s’isoler le plus du „reste du monde“, car les contactes avec d’autres individus non-membres mènerait à une série de conflits. Une secte ou une nation guéroise est un exemple d’un tel groupe.

Les vertus républicaines apellent à chaque citoyen à penser par soi-même et être capable d’agir activement dans la politique (tant que personne politique ou citoyen privé). Les citoyens d’une république doivient alors avoir de fait deux emplois dont celui d’agent politique. Ce qui est problematique depuis la monté des populismes, c’est que les peuples s’organisent souvent autour de leaders charismatiques tout en étant plus hostile vis-à-vis à des individus non-membre du peuple, donc des étrnagers, ainsi aussi hostile à des non-comformistes dans les milleux. Chauque milleux en Allemagne, France, Royaume-Uni et aux USA a ses propres moeurs et ses propres idéologies: la banlieu étant de gauche, la campagne étant de droite et les centres-ville du centre. Ces milleux sont de plus en plus homogène d’une manière idéologique, car la tolérance vis-à-vis de la moindre contradiction ou critique se restraint de plus en plus. „On ne peut rien dire à personne“ est le Leitmotiv avec qui on peu résumer le climat d’une „génération offensée“.

Les profondes divisions établis procèdent sur la base de mauvais principes. Le sens de convivialité, ou la tradition suisse de débattre volontairement avec ses opposants politiques, ou une ouverture d’esprits où on ne diabolise pas „l’autre“. L’importance est d’éviter un climat politique où la violence physique résout les questions et la vie publique est organisé envers la loyalité envers un chef suprême. Les deux facteurs sont fascistoïdes et anti-républicain; c’est ma conclusion après avoir écrit une thèse de Bachelor au sujet de la fin de la république romaine.

Julien Sita, 3 juillet 2022.

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