Mémoires d’un émigré italien au Luxembourg

Chapitre 1: Le petit monde du petit Nicodemo

Nicodemo Sità est né le 22 décembre 1939 à Mammola dans la région de Calabre en Italie. Ses parents Elisabetta et Vincenzo ont annoncé la naissance aux autoritées le 5 janvier, pour que Nico soit pas enrôlé au service militaire. De toute façon dans ces temps-là nul festoyait son anniversaire, mais sa fête du prénom. Sa mère Elisabetta Bruzzese ou aussi appelée Nonna Betta, est née le 2ème octobre 1915. En 1913 est né Vincenzo Sità, son père. La famille de sa mère était une famille d’intelluectuelles et de commercants tandis que celle de son père était issue d’une famille de commercants et de paysans. Elisabetta était tombée amoureuse de Vincenzo, mais s’est mariée bien plus tard que la moyenne habituelle prévus lors de période de l’entre-les-deux-guerres en Calabre, car la mère ainsi que d’autres membres de la famille refusèrent qu’Elisabetta se marie avec Vincenzo. Étant têtue et une femme de charactère, elle refusait de marier autre homme. Seulement après plusieurs années, sa mère a finalement acceptée qu’elle marie Vincenzo, après qu’elle a acceptée que sa soeur marie le frère de Vincenzo. Elisabettà était très sévère, mais fut aussi laissé dans le pétrain par sa propre famille après la mort de son père quand elle avait trois ans. Elle, comme son futur mari, a rompue avec une parti de sa famille à cause de dérives ultramatérialistes immorales – c’est-à-dire l’argent était plus important qu’autre chose. Éduqué dans un monastère il était prévu qu’elle devienne bonne soeur, mais elle s’est décidé de vivre avec Vincenzo. Après que son fils Nico s’est inatallé au Luxembourg, toute la famille s’est inatallé près de la frontière avec la France, puis à l’extrémité est de Niederkorn et puis plus au centre.

Le grand-père de Nico, ainsi que celui de sa futur femme passaient avant la Deuxième Guerre mondiale quelque mois ou années en Amérique du Nord faisant de bonnes affaires avant de retourner en Calabre. Pendant la guerre en Septembre 1943 les alliés ont déjà libéré la Calabre avant l’arrivée de la Wehrmacht occupant le nord de la peninsule, laissant les calabrais heureusement loin de la ligne de front. Un des oncles de Rita était partisan se battant dans les Alpes contre la fascisme et le nazisme. Après avoir été fait prisonier, puis libéré à la fin de la guerre il a fait environ mille kilomètres à pieds avant de retouner en Calabre. Ayant subi tous ces horreurs il est retourné à la maison demandant à manger à sa mère, ordonnant à donner manger à un „étranager très maigre“ avant que son fils y répondait „Mammà sono io“. Elle n’a pas reconnu son propre fils tellement il a changé physiquement de supplices.

La population de Calabre vivaient et travaillaient selon un code de solidarité dans les relations personelles. Les liens restaient plus forts chez les ouvriers, artisans, petit commercants et paysans que dans les sociétés de consommation hyperindividualistes. Le pouvoir central italien s’étant de plus en plus déconnecté de la presque’île, la Calabre s’est mainteneu par ses structures et valeurs sociales: la famille au sens large, la laboriosité, l’hospitalité, le respect, l’entre-aide, l’honneur et la générosité. La piété a encadré ses valeurs, car la religion règlait une partie importante de la culture calabraise et ainsi règlementait la vie et les structures sociales des calabrais.

Chapitre 2: Jeunesse à Mammola

Le petit Nico travaillait déjà à l’âge de six ou douze ans, aidant sa famillie dans les tâches ménagères et le travail agriculturel. Il cherchait du bois pour l’hiver et aidait à produire de l’huile d’olive pure dans les moulins, ainsi que du savon – pour se débarasser des tâches d’huile d’olive. L’huile d’olive était important, car la cuisine italienne l’a souvent comme ingrédiant. Sa future femme Rita Sità était instruite par ses tantes qui étaient professeures à l’école municipale de Mammola. Un des oncles de Rita était chancellier dans le conseil communal, tandis que d’autres de ses oncles était bouchers, boulangers et professeurs. Elle a voulu être bonne-soeur car elle s’intéressait à sa religion le christianisme catholique, mais son père s’est opposé et elle est dévenue couturerière après la fin de l’école. Son frère Nicodemo, aussi appelé Mico ou Mimi, était marié à Rosalia Sità (1927-2018). Avant de se marier, Rita a refusé trois fois la demande en mariage de Nicodemo, avant d’accepter sa quatrième proposition de mariage plus tard.

Chapitre 3: Pourquoi le Luxembourg ?

La vie de Nicodemo a commencé à se changer dans les années 1960, où les structures sociales se sont changés dans plusieurs parts du monde. Nicodemo n’a pas pu trouver du travail en Italie du Nord, car elle n’était pas si forte économiquement parlant comme au début du 21ème siècle, même si elle était déjà très indutrialisée. Il a pu aussi émigrer en France, dans le Midi, mais les mines de fer se trouvaient dans la „Grande Région“ où fornt partie le Luxembourg, la Wallonie, la Lorraine (Lothringen), le Rhénanie-Palatinat (Rheinland-Pfalz) et le Pays de la Sarre (Saarland). De plus, la France venait de sortir d’une crise politique majeure lors de la fin de la guerre d’Algérie (1954-1962). Malgré cela, la famille Bruzzese, à l’exeption de sa mère, s’est installé dans le Midi. Après que la Communauté du Charbon et de l’Acier (l’ancètre de l’Union Européenne) a été crée par six pays, dont l’Italie et le Luxembourg, l’industrie ferrovière a connu un essor massiv. Le Luxembourg lui plaisait plus que la Wallonie. D’ailleurs après la Seconde Guerre Mondiale l’immigration des Italiens au Luxembourg s’est multipliée. La communautée italienne a d’abord crée ses propres milleux dans le Sud du Luxembourg à la frontière près de la France, où les minerêts de fer ont été collectés depuis la fin du 19ème siècle. Cette région du Luxembourg s’appelle le „Minett“ et elle a produit la richesse principale du Luxembourg avant la monté du secteur banquier dans les années 1990. Les Italiens du Sud, comme Nicodemo, ont du faire environ 2.000 kilomètres pour atteindre le Luxembourg.

Julien Sita, 1er janvier et 23ème juillet 2022.

Chapitre 4: Établissement au Luxembourg

Tout le monde en Calabre parlait d’émigration. Déjà depuis 1880 un nombre très important d’Italiens du Mezzogiorno (le Midi italien) sont émigré aux Amériques, suivant les traces de leurs ancêtes comme Christophe Colombe et Amerigo Vespucci. En 1960 il a quitté pour la primière fois la Calabre première fois dans sa vie. Il a du prendre trois trains différents pendant trois jours pour parcourir son Odyssée. Arrivé à Differdange à huit heures du soir, ses premiers sentiments étaient le fait d’être choqué, perdue et être pris comme un prisonnier par un fermier de Mondorf-les-Bains, qui est venu le chercher comme un pâquet à la poste et non pas comme un employeur. Ce fermier l’a pris dès lors de son arrivé de manière assez froide et sans dire grand chose. Une heure il a fallu pour aller à Mondorf-les-Bains. La chambre était d’un mètre cinquante pour Nicodemo. il avait une petite table séparée de la grande table avec une ou deux tartine par repas, pas plus. En cas de désaccords, le fermier ne lui donnait pas à manger. Il a fallu se lever à sept heures pour mettre les machines en route avec filtre et serviettes pour faire passer le lait. Rita a dit que Nico a maigrie beaucoup lors de ses premières années au Luxembourg. Nico est resté deux mois chez ces fermiers avec peu de sens d’hospitalité. Rien que le chef fermier lui donait des ordres comme un commandant militaire pour travaillier et il le „remerciait“ en le laissant dormir les nuits avec les animaux de l’étable ou dans une très petite chambre. Un jour ce fermier a menacé Nico en employant de la violence et avec une fauche! Nico ne s’est pas laissé faire et l’a tapé sur le dos. Des gendarmes et juristes ont mal fait leur travail sur cette affaire et un tribunal a condammé Nicodemo à une ammende de 500 francs luxembourgeois alors qu’il s’agisait d’autodéfence et malgré le fait qu’un voisin italien lui a aidé pendant cette affaire et a traduit l’allemand en italien.

Julien Sita, 29 Juillet 2022.

Marriage et retour

Après le cette méaventure où il a du payer injustement une ammende, c’était le départ pour Frisange à la frontière du Luxembourg, puis à l’arrivé à Bettembourg Nico a pu trouver là dans cette commune de Bettembourg un travail à la ferme, dont le fermier lui a donné des conditions de travail acceptables et humains. Il laissait manger Nico à la table ensemble avec toute sa famille. Il était seulement stricte, quand il s’agissait de se mettre à la même place à la table de manger. Ayant trouvé que le Luxembourg lui plaisait bien et a décidé d’y rester. En 1961 il travaillait à Bettembourg et sur des autres places du Luxembourg pour les paysans. Pour transmettre la nouvelle qu’il a trouvé du travail, Nico est parti à Mammola après un an au Luxembourg. En retournant en Italie, Nico s’est marié avec Rita le 15 janvier 1964 – après trois ou quatres demandes au mariage. Retournant au Luxembourg en 1965, le fermier de Bettembourg l’a pour sa mauvaise surprise remplacé par un autre émigré italien.

Julien Sita, 21 Décembre 2022.

Othering au Luxembourg

Durch die NS-Besatzung Luxemburgs (1940-44/45) entstand ein noch nie so starkes luxemburgisches Nationalgefühl. Die luxemburgische Identität beharrte sich auch stark als viele Immigranten, vor allem aus Italien nach Luxemburg kamen. Identität existiert nur wenn es auch eine Alterität daneben ebenfalls existiert. „Inklusion bedeutet immer auch Exklusion“ sagte Professor Doktor Christian Jansen. Ein Nationalgefühl kann nur in einer Nation von vielen existieren. Das „Andere“, bspw. der Italiener wurde als dem „Anderen“ angesehen. Die Italiener waren mit 13% im Jahr 1960 die größte Gruppe von ausländischen Arbeitern in der ARBED. Mit den Luxemburger hatten sie mit den Italienern die Gemeinsamkeit mehrheitlich katholischer Konfession zu sein, wie auch damals in der Wallonie und Frankreich. Deutschland war mehrheitlich protestantischer Konfession. Die Sprache jedoch war dem französischen näher als dem luxemburgischen oder deutschen, weil es wie romanische Sprachen sind. Die Unterschiede in den Sprachen luxemburgisch und italienisch, sowie die Klischees in den Sitten, Physiologie und klimatische Einflüsse trugen dazu bei, dass sich die Luxemburger sich Stereotypen des Italieners aufbauten. Die Konstruktion des „Anderen“ nennt man in der Geschichtswissenschaft „Othering“. Nicht zuletzt hatte Süditalien schon in den 1880er Jahre den Ruf eines Verbrecherlandes. Die New York Times schrieb damals, dass Napoli vor kurzem noch als die Hauptstadt des Verbrechens galt. Dies war als Kritik gegen die süditalienischen Migranten in den USA gedacht. Das organisierte Verbrechen, genannt die Mafia, war ein negatives Klischee, der den Ruf der Italiener seit sehr langem verdirbt. Wenn ein Mord oder Rauball oder ein weiteres Verbrechen geschieht und der Täter nicht in flagranti erwischt wird, dann gelten ethnische Minderheiten als übliche Verdächtige. Der Grund dafür ist, m.E. weil sich Stereotypen und Klischees stark im Geist der Masse eingebrannt hatte und weil das „Fremde“ oft mit etwas was zugleich unbekanntes und Negatives konnotiert wird. Nicodemo war selbst Opfer seines ausländerfeindlichen ersten Arbeitgebers in Luxemburg, der ihm mit einer Sense bedrohte und dennoch vor Gericht sich als Opfer vorgab. Nicodemo hatte er schlecht behandelt, wenig essen auf einem kleinsten Tisch gegeben, mit Rindern und Schweinen schlafen gelassen, aus einer Laune heraus aus Leib und Leben bedroht, dann auch mit einem Bußgeld von 500 Luxemburger Franken ruiniert und letztlich arbeitslos gemacht. Der bessere, zweite Arbeitsgeber in Bettemburg hatte Nicodemo gezeigt, dass nicht alle Luxemburger ausländerfeindlich sind. Folglich ging Nicodemo nach seiner Hochzeit in Mammola nach Luxemburg zurück und arbeitete dort in der Stahlindustrie. Die italienischen Stahlarbeiter hatten allerdings nicht immer gute Beziehungen mit ihren Kollegen auf der Arbeit. Demütigungen waren an der Tagesordnung. Der Vater von Anna-Rita Coccomazzi-Sita wurde in der Wallonie von seinen Arbeitskollegen gehänselt. Anna-Rita weinte an dem Tag, wo sich einer der Mitarbeiter sich persönlich bei ihrem Vater entschuldigte, weil er Tinte in das Pausensandwich gegossen hatte. Auf der Arbeit in der ARBED wurde Nicodemo ausgelacht, weil er „Bierra“ anstatt „Bier“ oder „Beier“ sagte. Wie in der Spielschule wird der „Andere“, der einem nicht geläufig ist und eins-zwei Unterschiede mehr aufweist ausgelacht. Die Schulkinder von Immigranten in Luxemburg waren, so glaube ich, zwischen 1950 und 1990 in der Minderheit. Diese Tendenz hatte sich im Minett, bzw. Südluxemburg, völlig verändert. Noch der franco-italienische Französischprofessor des Autors war mit seinem portugiesischen Freund Manuel die zwei einigen Immigrantenkinder in der Klasse. Sein Freund war schlecht in Mathematik und bekam direkt zwei Ohrfeigen vom Mathelehrer nachdem er seine schlechte Matheprüfung zurückbekam. Die Situation der Südeuropäischen Immigranten und deren Nachfahren hatte sich in Luxemburg nach dem Niedergang der ARBED in den 1980er Jahre stark verbessert. Die italienischen, dann die portugiesischen und letztlich südslawischen Immigranten könne sich einfacher im Minett und Zentralluxemburg integrieren. Dabei hatten die italienische Minettarbeiter die Grandbausteine gelegt. Die respektable Akzeptanz des Aufenthalts erfolgte durch lange und harte Arbeit zum Wohl des Gemeinwesens. Respekt wurde nicht durch Trägheit, sondern durch Werktugenden belohnt. Diese Lektion erkannte Nicodemo.

Chapitre 5: premiers travaux industruielles

Trouvant un travail à l’ARBED avec l’aide de la traduction linguistique de Carmelo Bruzzese, un membre de la famille de sa mère, Nico avait les monsieurs Diedrich et Wampach en tant que ses sous-chefs. Invitant sa famlle proche au Luxembourg ils se sont d’abord installés à Differdange près de la frontière française, avant de déménager dans la banlieu de Niedercorn. Nico est retourné en Italie pour se marier avec Rita en janvier 1964. Dans une maison près de la commune de Samen, son premier enfant est né un an plus tard. So deuxième enfant est née par contre dans un hopital, après que Nico, son père, ses autres membres de sa famille, ses amis et ses camarades ont rénové une maison plus proche de l’hopital de Niderkorn. Dans cette troisième maison la famille Sità y est définitivement. Il a fallu beaucoup de travail pour la rénovation d’une maison pour une famille plus grande. Les horaires dans l’industrie férrovière étaient encore plus long et Nico a dû y aller deux fois et en somme 16 heures par jour! La plus jeune fille attentait tard le soir son papa venir, après que celui-ci fesait une pause, avant de dormir pendant quelque heures et ensuite y retourner très tôt au travail. En plus pour pourvoir travailler dans l’infrastructure et la logistique Nico a dû agir en tant qu’autodidacte, car c’est par observation des procédures d’enrégistrement et de documentation qu’il a pu commencer ses premiers travaux dans l’ARBED. Au fil du temps le travail dans l’industrie ferrovière, le travail de Nico demandait encore plus d’effort physique. Vers le début des années 1960 le Luxembourg ressemblaient à un pays de paysans. L’agriculture restait très developpée malgré l’âge d’or de l’industrialisation lors des „Trentes glorieuses“ (1945-1975) et l’afflux des immigrés italiens au Luxembourg est apparu lors de cette ère. Commancant à la reception de la marchandise il a travaillé ensuite en tant que fondeur de fer.

Chapitre 6: jubilée d’un travailleur

À la fin de sa carrière Nico a travaillé avec cinq personnes. Plusieurs ont été mis à la retraite avec un prix de 100.000 francs luxembourgois et puis aussi une pension provisoire. La moitié ont été d’ailleurs « payé » pour partir en retraite. Ce fut également le cas en Belgique. C’était déjà depuis des années la fin de l’âge d’or de l’industrie férrovière en Europe de l’Ouest. Dans ce contexte, Nico restait quasiment en tant que vétéran avec les derniers travailleurs sidérurgiques. Les travaux devenaient de plus en plus dangereux, quand Nico et son groupe plus restraint devaient se débrouiller du travail de l’industrie lourde à Differdange.

En 1985 il fêtait avec une vigntaine de ses collèges ses vingt ans de travail à l’ARBED et a reçu de l’administration de son secteur de l’entreprise une montre comme récompense. Il buvaient et mangaient avec leurs collègues, avant de repartir à la maison. Nico n’aimait pas les jeux, peu importe quelque soit la sorte. Même pas le Football. Rien que les jeux de cartes n’était rien pour lui, car les vainquers et les perdants des jeux de cartes promettaient de boire jusqu’à l’ivresse en cas de leur victoire ou même leur défaite. Le travail était le „jeux“ que Nico pratique depuis l’âge de six ans. En tant que chef d’une équipe de six personnes un a été assez emblématique voire même anarchique: Antonio di Rusa ne voulait pas prendre des ordres de Nico et le supérieur hierachique de Nico a du répéter à l’anarchiste que Nico était son chef directe. Même le père de Nico a travaillé dix ans pour Diedrich Colas, un des chefs de l’ARBED. Le père de Nico, Vincenzo Sità, était très courageux et avait coutume de dire: „La seule chose qu’ils puissent te dire c’est „non“ et même si ils le disent, c’est pas grave.“ Nico travaillait pendant tout les années 1980, même quand dans ces temps là le secteur sidérurgique au Luxembourg était en période de déclin et même quand il s’est un jour cassé le bras! Seul l’intervention de ses membres de sa famille l’a convaincue de voire un médecin, qui s’est totalement étonné qu’il voulait continuer à y aller au travail, alors qu’un bandage n’a pas suffi pour faire guérir sa blessure.

Chapitre 7: L’accident et le réétablissement

En septembre 1990 Nico a presque perdu sa vie et a été gravement bléssé par une explosion d’une machine à l’ARBED. Il a du rester pendant plusieurs mois à l’hôpital et même là il était dans une situation très préoccocupante ayant eu besoin de beaucoup de temps pour se rétablir vraiment de l’accident. Il lui a fallu environ une décennie pour sortir de son invalidité. Même quand il était coincé dans son lit à l’hôpital, il a dit à son fils Vincenzo de finir ses études, même si son fils restait très inquiêts pour son père lorsqu’il écrivait son examen de fin d’études secondaires (l’équivalent du baccalauréat en France). Vincenzo a écrit malgré ses soucies sur la survie de son père, ayant été encouragé par lui un bon examen. L’instruction et l’éducation de ses enfants était très important pour ses enfants. De leurs parents les trois enfants Sità ont reçu une éducation travailliste, où la diligence et la solidarité sont des princeipes élémentaires. Les parents sont devenus grand-parents et enfants parents ou tantes ou oncle. La troisième génération Sità est né dans un tout autre Luxembourg: d’un pays de fermiers il est devenu un pays de banquiers, grâce aux travailleurs de l’industrie férrovière, comme mon grand-père.

Chapitre 8: Les travaux en retraite

Après le début de sa préretraite, il y avait des évènement joyeux et tristes. Deux de ses enfants se sont mariés et ont eu quattre enfants. Dans le même axe de temps, les parents de Nico sont décédés après avoir eu le plaisir de voire grandire pendant quelque années leurs arrière-petits-fils. Entre 1993 et 2002, sa mère Elisabetta restait neuf années jusqu’à sa mort au lit et Rita a pris soin d’elle pendant toutes ces années. Vincenzo Sità, on père aussi appelé „nonno vecchio“ („vieux grand-père“) lui a transmis par héritage son poulallier à Nico dont il s’est occupé pendant des années. Lors de la pandémie de grippe avière en 2004, le poulallier, qui était seulement à quelque mètres près de l’hôpital de Niederkorn a dû être fermé. Nico a vendu ses poules et a contnué en tant que maitre d’étale quelque années plus tard vers 2012 quand ses petits-enfants lui ont acheté une demi-douzaine de poules. Quand celles-ci ne faisaint plus d’oeufs en 2019, il les a une fois plus vendu, décidant de finir son autre carrière de 22 ans en tant que maître de la ferme des poules. Par contre sa passion est resté la cultivation de jardins. Fièrement il a déclaré manger des légumes bio. Il aime bien manger les piments piquants, la minestrone – c’est une soupe de légumes – la viande de porc et partiellement aussi la cuisine grecque… mais pas les la pizza, les spaghettis et les cuisines indiennes, chinoises et japonaises. Et il n’y avait pas seulement ça; 2001 il a même trouvé une petite chatonne abandonnée dans son (autre grand) jardin en septembre 2001, qu’il l’a adoptée dans sa maison et où elle a reçu le nom, inspiré d’un film culte de la même année, d'“Amélie“.

Julien Sita, 24 août 2022.

Chapitre 9: La loi sacré de l’hospitalité

Avec les membre éloignés de la famille et les amis, Nico se montrait de bon coeur et les acceuillaient chez lui pendant des mois, voire même des années sans demander de loyer sous forme financier, materiel ou de services en retour quand ils ne savaient pas où y aller; n’ayant ni abris, ni emplois. Pendant plus de six décennies Nico a tenu ce principe intacte.

Le sens de la famille était pour Nico si important, qu’en hiver 2016 il s’y est rendu en Calabre pour prendre part à un mariage, alors qu’il était malade et avait 77 ans. Lui et sa femme Rita n’enprofitaient pas de la bonté de la famille, apportaient nombre de cadeaux du Luxembourg à l’ensemble des membres des branches paralles de la famille en Calabre et aidaient même entre-autre aux tâches ménagères.

Les liens entre copins des cousins et leurs valeurs restaient si forts qu’en août 2022, des amis de sa famille à Jesolo, près de Venise, refusèrent qu’il payait le dîner, même si il insitaient. Le concept abstrait des anciens du respect est devenu d’avantage plus pharamineux aujourd’hui car il paraît comme une vertu devenu rare.

Julien Sita, 30 août 2022.

Chapitre 10: noces d’or et double anniversaire 2019-2020 à Bernkastel-Kues et au Beierhaascht

Après 50 ans de mariage, fêtant leurs noces d’or en janvier 2014, Rita taquine son mari, disant: « Il m’a ruiné. », tandis que son mari a décrit ironiquement son mariage comme plus de « 50 ans en prison. ».

(la suite à suivre)

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