La culture woke

Les goupes ayant un intérêt particulier dans la culture woke sont les femmes, les minorités religieuses, raciales, ethniques, ainsi que sexuelles de la communauté LGBTQ+ (pour simplifier je parle désormais de „la communauté queer“ pour désigner ceux qui sont transsexuels et les non-heterosexuels).

La gauche ayant été le porte-drapeau des intérêts des masses populaires les plus démunis comme le prolétariat jadis ou le précariat aujourd’hui, a trouvé beaucoup d’intétrêt dans la protection des minorités depuis le début des années 2010. La crise du néocapitalisme et les mouvements de contestation n’ont pas changé profondément le système économique et politique, tandis que la deuxième présidence de Barack Obama aux USA n’a pas désossé le racisme comme les minorités l’ont espéré.

Les flux migratoires de réfugiés du moyen-orient vers l’Europe, lors de la guerre contre l’organisation terroriste Daesh, a été un des facteurs importants pour la montée de l’extrème droite en Occident. Les populismes de droites, voire d’ultra-droite, au pouvoir sont devenu une normalité vers 2020. En même temps que la droite dure a gagné du terrain, l’idéologie néolibérale de gauche (donc le wokeisme) a gagné de l’influence aux USA. Le wokeisme a seulement commencé sont déclin aux USA après la fin de la présidence corrompu de D. Trump.

Néanmoins les idées wokeistes restent influentes, même si l’idéologie en somme reste pour moi un mystère de la raison pratique. À mon humble avis le wokeisme est impracticable. Cette idéologie se base sur une moralité rigoureuse du type à être plus royaliste que le roi ou plus catholique que le pape. Quand les wokeistes prennent les droits des femmes et des minorités trop au sérieux, ils y voient le sexisme, le racisme, la trans- et l’homophobie partout. Chaque acte, chaque mot et chaque pensé sont potentiellement des péchés. Déjà les „microaggressions“ sont difficiles à définir, car ils peut s’agir de tout et de n’importe quoi.

Il me semble ainsi plus judicieux de défendre les droits des femmes et des minorités en se focalisant directement sur les thèmes comme l’éducation, la sécurité physique, la réalisation d’opportunités, la répartition des richesses et la représentation dans les institutions politiques. Trop souvent les wokeistes s’intéressent pour le symbolisme et le langage. À mon humble avis il faut strucutrer et rationaliser l’idéologie wokeiste pour que la culture woke ne fait plus peur à une majorité d’occidentaux (dont moi inclus).

J’appelle donc à la NUPES de mettre en question sont clientèlisme et de ne pas faire d’amalgemme entre fascistes et policiers, ainsi qu’entre régulation de l’immigration et l’intégration et le rascisme. Si la gauche (française) se voit comme un mouvement populaire, alors elle doit – et surtout ses leaders – arrêter de diviser la population.

Julien Sita, 9 octobre 2022.

À côté du wokeisme en France: la mocronie et l’extrême droite

La macronie et l’extrème droite forment les deux principaux courants d’idéologies politiques en France en 2022. Après cinq ans d’Emmanuel Macron au pouvoir le bilan est mieux que celui de ses prédesseseurs de gauche comme de droite. Ironiquement Macron semble avoir adopté dans son équipe méritocratique des libéraux de gauche comme de droite pour diriger le pays de façon plus pragmatique et être moins limité de dogmes philosphiques. Certes il y a encore des problèmes, certains même guère tempéré, mais en ayant honoré environ 52% de ses promesses, la politique française semble avoir fait enfin un meilleur bilan. Rien qu’une économie florissante à la fin d’un mandat présidentiel manquait depuis 2007!

Face au pragmatisme économique la droite radicale forme une tendace de plus en plus polarisé. Il faut à mon avis comprendre les différences de la macronie et de la droite radicale française pour comprendre la Frace d’aujourd’hui. Malheurement, le gaullisme semble être une tendance de plus en plus marginalisé. Elle n’était probablement pas une idéologie, mais elle a donnée de l’orientation à la droite républicaine et civilisée, comme sa prémisse de tourner le dos à l’extrème droite.

Julien Sita, 10 octobre 2022.

Eindruck, Konstrukt und Kategorie: wie die Welt in modernen Gesellschaften wahrgenommen wird

Alter, Geschlecht, Nationalität und andere Identitätskriterien gelten nach modernen Maßstäben als absolut subjektiv: nach dem Motto „ich bin das oder so wie ich mich fühle“. Viele dieser Kategorien werden sehr oft frei verwendet wobei keine einheitliche Theorie entstehen kann, was zum Gunsten der Pluralität ist. Neben dem wokeschen Willen zur Gleichschaltung oder vom Individualismus wird manchen Woken Proselytismus und Intoleranz vorgeworfen, was die Bewegung in Verruf brachte. „Wokesche“ Familienstrukturen werden wie alle nicht anomischen Familienstrukturen neue Ideologien fördern. Es werden neue Werte auf einer anderen Weise vermittelt. Askese, Symbolik, Höflichkeit und politische Korrektheit werden Grundpfeiler der „wokeschen“ Erziehung sein. Bei Woken werden Identitäsfreiheiten so sehr gepriesen, wie bei Liberale die Konsumfreiheit. Neben der Freiheit so ziemlich jede Identität einzunehmen die einem Gefällt, kommt die „wokesche“ Pflicht sich zu engagieren oder die eigenen Privilegien zu nutzen um den Unterprivilegierten zu helfen. Das System zu hinterfragen ist für Woken Gewohnheitssache. Dabei werfen ihnen Philosophen manchmal vor die falsche Fragen zu stellen und würden mehr auf die Symbolik der Veränderung als auf substantielle Veränderung Rücksicht zu nehmen.

Hinzu liegt in dieser Debatte eine Frage im Vordergrund: Ist das System die Wurzel des Rassismus oder sind es rassistische Ressentiments, die das System formen? Zizek ist von der ersteren Option überzeugt, aber er ignoriert die Tatsache, dass auch wenn soziale und ökonomische Ungleichheiten nicht existieren würden, die Affekte des Hasses, des Zorns, der Angst und der pervertierten Selbstliebe immer noch imstande sein würden rassistische Ressentiments hervorzubringen. Die Machtstrukturen zu verändern ist eine Sache, aber gerechter Umzuverteilen ist eine andere: daher hat Zizek insofern recht wenn er systemischen Rassismus von systematischen sozio-ökonomischen Ungleichheiten ableitet. Ethnische und weitere Minderheiten sollen nicht nur in der Führungsriege besser repräsentiert werden, sondern es muss auch eine weiter Teil der Minderheiten in den Genuss der Chancengleichheit schaffen. Chancengleichheit ist aber wie die Gleichheit vor dem Gesetz immer eine sehr heikle Sache; deswegen muss man sich oft mit minimalen Verbesserungen zufrieden geben.

Julien Sita, 25. Februar 2023,

(À continuer)

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