The green industrial revolution, Or a guest essay in favor of a new green global industry

In case of an international crisis caused by the climate crisis, there is a high risk that the popular masses will be left out by the state and must struggle on their own. The depoliticized masses let the influence over the state to other pressure groups who could produce the next regiment of rulers.

Long lasting chaos of all against all could break out in many countries and destabilize many regions, respectively continents, as corollary effects of the climate crisis. “Public order” will nonetheless be preserved by powerful groups and so-called “strongmen” but with draconian measures like forced labor and harsh as well as unfair punishments for small delicts. Incarceration would cost too much, and the essential industry has nonetheless to work.

The modern slavery-based economy should not be seen as a solution to the climate crisis, but as a symptom of the whole problem. In fact, we want the next generations to live as well as we do, not work like slaves to survive a climate crisis and its aftermath. Therefore, we need to organize a decentralized global industry for green energies.

APPENDIX: STATE’S PRIORITIES

In my humble opinion there are six priorities, but only the third one and in some cases the second one are both statemen and people’s interests all the other priorities are either important to the statesmen and unimportant to the people and vice-versa:

1.acquiring and preserving money, power and privileges 4.distraction from social problems

2.pandering kindred and allies – domestic as well as foreign 5.social policies for the benefit of a majority of citizens

3.“public order“ and preservation of the state 6.helping the poorest citizens and social minorities

If family would abolished and the state would create in vitro newborn and rise up as well as educate childen, then obediance and cohesion would be core values of a society and the nxt generations would be indoctrinated, while falsely believe they are free. It is in family structures that individuals learn to devellop selfreflection, how to question authority and how to make profound bonds.

The poor and maginalised communities are not the governments priority exept when they are powerfull enough to make pressure. The damands to make new laws should be concrete and well ajusted to the concrete context before they should ge to the parliamenary commission which drafts the bills. While parliament is debating, the people should do the same.

What should we, the people, exept from the state and what can the state expect from its base? Nowadays, its a minimum to nothing which we can expect from both sides; the popular masses are becoming hyperindividualistic and inconsistend, while the statesmen are making only laws which benefits themselves or its associated clientele.

Lord Greene, May 5th 2023.

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Personen und Strukturen

Althistoriker behandeln tendenziös Gesellschaften wie Maschinen sowie vitae wie Mythen, die zu unsicher oder zu verworren seien um anständig zu behandeln. Historiker bezüglich der Neusten Geschichte schreiben indes so viel über eine historische Persönlichkeit wie es ihnen passt oft dienen manche als negative oder positive moralische exempla. Während Althistoriker es als unpassend ansehen antike Persönlichkeiten als moralische Exempeln darzulegen, verbringen moderne Historiker damit Beispiele von moralischen Übeln wie Rassismus, Terror- und Gewaltherrschaft, Sexismus, Ausbeutung, Homophobie, Sklaverei und so weiter zu recht zu beklagen.

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La chûte des chefs et leurs systèmes

Autocratie, democratie, theocratie et patriarchat ont été pris d’assault dans le monde arabe en moins de 10 ans. Plusieurs révoltes populaires ont mis fin à des régimes dictatoriaux endurant des décennies. Les révolutions démocratiques arabes se sont conclus par des échecs, comme après aussi les inssurections des groupes terroristes islamistes. Il semble néanmoins aussi que certaines régions du monde arabe le patriarchat se laisse aussi démantler petit à petit, notamment grâce à l’éducation des filles et des femmes. La liberté politique étant souvent vu comme un projet mort, plusieurs jeunes arabes aspirent à plus de libertés individuelles par des changements de moeurs à les femmes pourraient vivre plus émancipées. Deux pays persans, l’Iran et l’Afghanistan, sont les seuls à être dirigés par des prêtres – parfois autoproclamés – pendant que l’Arabie Saoudite et ses alliés se raprochent avec Israel en espérant de former un front uni contre l’Iran, qui menace par son impérialisme et militarisme directement les kurdes, arabes et israeliens et indirectement l’occident par son alliance avec la Russie et la Chine. Les pays arabes sont très divers politiquement, économiquement et culturellement: l’évolution des meours dépend donc grandement d’un pays arabe à l’autre. Ce qui est sûre c’est qu’en période de paix et stabilité l’économie va mieux que pendant les conflits. Les nouvelles réalités materielles sont un potentiel culturel important, qui peut changer des modes de vie et des systèmes socio-politiques.

De l’impérialisme oriental ?

La Turquie pourrait prendre contrôle de la Chypre du Nord et du Kurdistan, tout en étendnat son influence sur les pays turcophones, notamment en Aserbaijan. Le nationalisme turc semble être le seul encore vif dans la société civile, tandis que dans les pays arabes le (pan-)islamisme et le panarabisme sont devenus des idéologies mises en échec ou en parti stoppés entre 2019-2022. L’Égypte – ancienne pionière du panarabisme – et ses alcolytes ne tentent plus d’unifier le monde arabe sous une entité (géo-)politique. Les pays arabes en guerre sont souvent chroniquement instable, ceux sortant des guerres lèchent leurs blessures, ceux étant en paix et qui ont une économie faible se focalisent au PIB, la situation du chômage et l’inflation, tadis que les pays arabes riches surconsomment et investissent beaucoup. Une grand Etat arabe composé de plus de 20 Etats membres de la ligue des Etats arabes serait une superpuissance, qui pourriat être trop puissant pour l’équilibre du monde ou au contraire donner plus de stabilité dans une région instable. Les monarchies du golfe, l’Égypte et le Magheb ont des moeurs et cultures assez divers, ainsi que des buts nationaux divergeants. L’unité des Etats arabes sera peut-être un rêve pour la prochaine génération. Face aux ambitions limités des arabes et de la part des turques dangereux pour l’Arménie, l’Iran semble a des ambitions impéralisites dans les pays, territoires et communautés chiites et alawites. Le nationalisme du type paniranisme est faible, car les pachtoues afghans se sont reliés aux Talibans, qui sont hostiles aux Iraniens chiites et les Kurdes – iraniens comme non-iraniens – ont des inspirations progréssistes et indépendantistes. Le nationalisme iranien n’est plus inclusif, mais est denosjours axé à l’antizionisme militariste, à un panislamisme selectif et à l’opression des minorités éthniques et religieuses. Faudrait-il réinstaurer la monarchie impériale, constitutionelle et parlementaire en Iran pour en finir avec l’impérialisme iranien ? En tout cas l’empereur (en farsi appelé: chah) était moins autoritaire et moins impérialiste que le régime islamiste dont son discours antiimpérialiste est une farce.

Epilogue: l’Etat réduit à deux éléments clés?

Il me semble que l’impasse politique a non seulement promu une apolitisation de plusieurs populations dans le monde arabe après que tout les formes de gouvernement semblent avoir échoué à créer un vrai changement. En tout cas ça ne sera pas l’Etat qui créera un changement de système politique, la société ou même des moeurs. Du blocage politique, des populations semblent se résigner que les politiciens gèrent l’économie nationale et de l’ordre public, sans être auteur de réactions ou révolutions culturelles. À la fin ça sera la voie de l’individu ou des groupes éduqué(s) et / ou laborieux pour trouver une issue. Face à un système paralysé marchant à peine il faut soit le changer, ce qui a déjà été essayé, ou savoir comment naviger là-dedans, ou savoir comment y échapper.

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Thèses diplomatiques et militaires

THÈSE 1 : La politique étrangère est peu démocratique contrairement à la politique intérieure.

1. Le peuple débat très peu sur les affaires internationales et le manque d’intérêt ainsi que de connaissances sur les affaires étrangères démontrent que le peuple se sent à peine concerné par les décisions prises à l’internationale.

2. La diplomatie et la sécurité internationale sont assez complexe ; pour cela le peuple laisse ces thèmes brulants plutôt aux experts ou même à des bureaucrates novices, abandonnant la liberté de diriger ces deux choses par peur des erreurs et des responsabilités.

3. L’ordre international peut être basé sur trois principes : la loi du plus fort, la vassalisation ou l’égalité entre nations. Dans le meilleur cas, le troisième, deux ou plusieurs parties doivent rerenoncer à des prérogatives, car le droit international et les traités internationaux sont justement là pour en empêcher les Etats de faire tout ce qu’ils souhaitent.

4. Les relations entre pays ne peuvent pas changer en façon de l’humeur momentanée d’un ou deux peuples, s’il est impératif de maintenir la stabilité internationale.

5. Les liens politiques, économiques, militaires etc. entre les nations sont souvent si étroitement liés que les prises de décisions ne se font pas seulement par référendum ou vote au parlement, mais qu’un consensus entre Etats est absolument nécessaire.

CONCLUSIONS : La participation à la vie politique active des citoyens ordinaires reste donc surtout ancrée à l’intérieur des limites de leur Etat. Malgré tout, le ministre des Affaires étrangère reste le plus souvent plus populaire que celui de l’intérieur.

Julien Sita, 27 Mai 2023

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Exzerpt des Wahlprogramms von der Partei FOKUS für die Gemeinde Differdingen

Kapitel I: Sicherheit

FOKUS will die Präsens von Polizeibeamten erhöhen, sowohl im Dienstwagen als auch zu Fuß. Neben dem Polizeipersonal müssen auch an öffentlichen Plätzen und Straßen mehr Überwachungskameras installiert werden. Zebrastreifen sollten an manchen orten nicht fehlen, sowie ihre dazugehörende Beleuchtung. Die bessere Beleuchtung an öffentlichen Plätzen und Straßen soll das Sicherheitsgefühl stärken und Straftaten verhindern. Informations- und Aufklärungskampagnen sollen die Bürger für Sicherheitsfragen sensibilisieren. Dafür können Informationsveranstaltungen, Workshops und Schulungen organisiert werden.

Kapitel II: Mobilität

Das öffentliche Verkehrsangebot soll so verbessert werden, dass in Stoßzeiten am Morgen und Abend sie Schüler und Studenten pünktlich zur Schule gehen und an anderen Orten ausgehen können. Weitere Fahrradboxen sollten von der Gemeinde zur Verfügung gestellt werden um die Mobilität zu erleichtern. Um die Abhängigkeit vom Auto weiterhin zu verringern sollten Carsharing-Programme, darunter vor allem „Mitfahrgelegenheiten“ für Jugendlichen, organisiert werden. Bürger, die kein Auto besitzen, fortgeschrittenen Alters sind oder nicht in der Lage sind, selbstständig zu fahren sollten von Beamten bei der Erledigung der von Besorgungen geholfen werden; zu diesem Zweck sollten mobile Servicezentren der Gemeinverwaltung eingerichtet werden. Für Pendler sollten bessere Parkmöglichkeiten geschaffen werden. Für junge Leute sollte eine subventionierte Night-Rider-Karte eingeführt werden.

Kapitel III: Das bessere Image von Differdingen

Differdinger sollten stolz auf ihre Gemeinde hinaufblicken. Dazu sollen auch Charity-Läufe organisiert werden, um das Bewusstsein für soziale Themen zu schärfen und das soziale Engagement der Bürger zu fördern.

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Propositions de lois

I) La proposition de loi relatif à la cohésion social entre les âges par le travail

Description:

À partir de l’âge de 55 ans, un employeur devrait travailler 4 jours et demi par semaine et une demi-journée ils devraient former un travailleur entre 16 et 25/30 ans. Deux heures de la demi-journée devraient être payés par l’employeur et les deux autres heures par l’Etat.

À partir de 58 ans, la formation s’accélère et une journée de travail entière est dédiée à la formation. Quatre heures devraient être payé par l’employeur et les quatre autres par l’Etat.

Enfin, à partir de 62 ans, les binômes auront droit à deux journés où l’employeur sénior formerait l’employeur junior. La moitié des heures de formations devraient être aussi payé par l’employuer et l’autre moitié par l’Etat.

Moitiv:

Les tensions entre les générations créent des fissures graves dans le tissu social et des impasses dans l’économie. Les ressetiments et méfiances sont palpable: les jeunes travailleurs accusent les anciens de tenir un poste trop longtemps et accroître le chômage de ceux qui ont moins de 25/30 ans, tandis que les travailleurs plus expérimentés voient d’un mauvais oeil d’être remplacé par des nouveaux sans expériences. La proposition de loi ci-dessus prône pour un plus grande cooperation entre les travaileurs d’âges différents, au lieu d’une concurrence asymétrique – et dans notre contexte social – souvent nocif. L’Etat et le patronat devraient y participer à ce programme de formation, car l’apprentissange et l’expérience sont nécessaires pour l’économie et souvent des jeunes trailleurs manques des deux, tandis que les travailleurs proche de leur retraite pourront transmettre leur savoir, dont la prochaine génération de travailleurs pourront tirer profit.

II) La proposition de loi relatif aux deux comptes

Description:

Si seulement une personne travaille dans un couple, marié ou pacsé, alors l’employeur devrait verser 70% du salaire au membre travailleur du couple et les 30% restants à celui qui reste à la maison.

Motif:

Il est important de préserver la dignité de chaque membre du couple et d’éviter qu’un membre soit dépendant de l’autre. Les tâches ménagères et le temps passé avec les enfants représentent un travail considérablement long, dure et important, ainsi la récompense de 30% du salaire doit souligner que le travail des tâches ménagères soient reconnus à leur juste valeur, sans que l’autre membre du couple décide autrement et autoritairement. La philosophe britannique Virginia Woolf a même considéré la dépendance financière comme le pillier, qui permet le fonctionnement du patriarchat. Ma grand-mère est marié pendant plus de 50 ans de manière heureuse avec mon grand-père. Elle a travaillé très dure toute sa vie pour faisant les tâches ménagères. Son „premier salaire“. comme elle le décrivait, était sa pension pour ses tâches ménagères. La récompense d’travail presté est donc pour moi aussi personellement un impérativ non-négociable.

III) La proposition de loi relatif à l’instruction des employés

Description:

À partir de la 3ème année de travail dans la même entreprise, un employé ayant un CDI devrait avoir deux ou quatres journées de formation par mois. Cette formation lui permettra de mieux connaître son métier et accroître sa culture générale.

Motif:

Les travailleurs pourront grâce à cette loi, un fois mise en application, mieux s’épanouir sur leur lieu de travail et aussi mieux donner des conseils à leurs clients. De tels spécialisations sont de plus en plus nécéssaires, car (1) la moitié des emplois pourront être remplacé par des machines dans le futur, mais l’aspect humain et personnel doit être maintenu, (2) la majorité des travailleurs sont au moins insatisfait de leur travail, en partie parce qu’il n’y a pas d’évolution dans la routine et (3) le travail est devenu souvent un oisiveté cachée où les travailleurs renoncent à travailler sérieusement, doutant du sens qui a leur travail, dont ils sont le plus souvent insatisfait ou ne voyant pas l’impact ou un but final qu’ils veulent atteindre. Puisque la connaissance raisonée est un attribut, dont on peu être fière et avoir plaisir, une personne pourrait se developper de manière positive par l’acquérance de nouvelles connaissances.

VI) La proposition de loi relatif à l’évolution démographique luxembourgeoise

Description:

Dans le cas de surpopulation: Il faut fixer un pourcentage considérable du territoire nationale dans la consitution luxembourgeoise qui doit appartenir à une reserve naturelle, prenant l’exemple du Bhoutan et du Costa Rica.

Dans le cas de souspopulation: Si le Luxembourg a plus de retraités que de personnes nés ou adoptés, alors il faut réviser profondément la politique d’immigration pour empêcher une autre sorte de crise démographique. Concrêtement ça veut dire qu’il faut attirer activement des étrangers à l’installer au Luxembourg par des publicités spéciales dans certains pays, une politique d’asyle plus ouverte et des accords spéciaux avec certains pays.

Dans l’attente d’un de ces deux cas: Le gouvernment doit se préparer à tous les scénarios démographiques avec un plan à long terme, qui inclut pas quelque années, mais des décennies et pour cela doit être encré dans la constitution pour au moins deux générations.

Motif:

Le nombre de personnes pouvant avoir la nationalité luxembourgeoise ne doit pas être restraint, car le droit à une nationalité est un droit fondamental selon la Déclaration universelle des droits de l’Homme. Par contre, le Grand-Duché ne peut pas avoir plus que deux million d’habitants si il veut éviter la sur-urbanisation et conserver ses réserves ainsi que d’autres espaces naturelles, comme son agriculture.

V) La proposition de loi relatif à inclusion politique

Description:

Il faut développer une démocratie ou les électeurs votent majoritairement par voie électronique au lieu de se servir du papier. La prémisse d’une „démocratie électronique“ est cependant la sécurité numérique, qui doit également être mieux élaboré pour éviter le piratage et les virus informatiques.

Tous les projets et propositions de loi peuvent être rejetté si deux instances la rejettent. Les deux instances sont: la population luxembourgeoise et les commissions académiques indépendantes. La première doit determiner quels intérêts seriant „légitimes“ et la seconde si ils peuvent être considérés comme „réalisables“. Il faut souligner que si seulement une des deux instances s’oppose au projet ou propositions de loi, alors la chambre est libre d’ingnorer un veto à la valeur insuffisante.

Motif:

Dans chaque période de l’histoire européenne, la démocratie a changé considérablement de définition et il est temps d’accomoder la démocratie luxembourgeoise pour un futur proche où les luxembourgeois se sentent concernés par la politique sans se sentir impuissants ou sans assez d’expertise nécessaire.

VI) La proposition de loi relatif à la mobilité

Description:

Il faut inciter les frontaliers à prendre des petites routes, même si ils ne sont pas habitués de les prendre, et en attendant le „bon moment“ pour éviter le traffic de travail le matin, à midi et l’après-midi tardive.

Motif:

Limiter d’avantage le traffic est important pour les automobilistes, pour qui c’est une perte de temps, et pour l’environnemnt.

VII) La proposition de loi relatif à la redistribution des ressources et richesses

Description:

Une réserve de ressources essentiels doit être disponible pour que tout citoyen puisse vivre en dignité et non seulement survivre. Les ressources primaires ne doivent pas être contrôlés par une autorité, ou un bureau ou une commission pour pouvoir à long terme maintenir une guarantie matérielle. Chaque citoyen n’ayant pas d’emploi doit avoir droit un revenu minimum sans conditions à condition qu’il travail cinq jours ou du moins par semaines pour des projects d’intérêt général initiés par la commune ou par l’Etat.

Motif:

Il faut trouver des moyens pour contrer une crise des besoins physiologiques, la précarité et le chômage. Ces probles peuvent s’empirer dans l’avenir et il faut donc penser à des plans importants.

VIII)

La proposition de loi relatif à la rotation du travail des élus

Description:

Deux-tiers des politiciens devraient participer par le travail dans certains domaines pour six mois pendant deux ou trois jours par semaine.

Le tiers des „cadres“ des députés et conseillers communaux devraient rester à leur place, mais un tiers des politiens doivent travailler l’hiver et un autre tiers devraient travailleur l’été. Il est important de noter que les „cadres“ eux-mêmes d’abord travailleur pendant douze mois avant d’être élu président du parlement ou maire.

Un politicien qui est par exemple méchanicien devraient travailler dans une usine de voiture ou un garage ou en tant que formateur des jeunes voulant être méchanicien. Si dans le cas inverse un politicien a seulement seulement étudié les sciences politique, il doit selectionner un travail qu’il doit commencer à connaître.

Motif:

Il est important que les politiciens participent à la vie économique et sont ainsi aussi conectés à ces réalités du terrain.

IX) La proposition de loi „genus aequali stipendium“

Description:

Il faut trouver un moyen d’établir un équilibre de salaire entre les gendres. Une entreprise pourrait payer une ammende si un déséquilibre systémique persite pendant plus de cinq ans. Si cette entreprise est recediviste, alors l’ammende s’accentue. Surtout les grandes entreprises devraient devoir prouver tous les ans qu’ils payent leurs salarés de manières égaux, sans différences de sexes, car ils ont le plus d’influence sur la politique et le plus de ressources financières pour y parvenir.

Motif:

L’égalité des salaires entre gendres pour le même travail doit être établie définitivement.

X) La proposition de loi relatif aux cours de langues

Description:

Dans chaque canton au moins trois d’écoles de langue du soir doivent fondés. Ces écoles peuvent aussi être liés à des activités ou à la restauration, comme un dîner dans une langue à apprendre, pour une meilleure l’ambiance d’apprentissage.

Motif:

L’amélioration de l’usage d’une ou plusieurs langue(s) peut devenir être un sport national, pour maintenir l’héritage culturel, les avantages économique et beaucoup d’atre choses.

XI) La proposition de loi relatif à la cyber-sécurité nationale et individuelle

XII) La proposition de loi relatif à la spécialisation diplomatique pour la défense des alliés et valeurs à l’étranger

XIII) La proposition de loi relatif au secteur informatique, la polypoly par les PMEs, l’économie verte et l’indépendance énergétique

XIV) La proposition de loi relatif à la production des panneaux solaires, l’extention des réserves naturels et l’alimentation par l’agro-agriculture

XV) La proposition de loi relatif à la la santé et aux séniors

XVI) La proposition de loi relatif à la sécurité et aux tensions entre voisins

XVII) La proposition de loi relatif à l’éducation

XVIII) La proposition de loi relatif aux ammendes pour les parents d’enfants harceleurs (donc ammendes „anti-mobbing“)

XIX) La proposition de loi relatif à l’introduction du code informatique

XX) La proposition de loi relatif à la perte du droit d’avoir un animal de compagnie suite à de la maltraitance

XXI) La proposition de loi relatif à la reconnaissances des groupes dangereux du mouvement „citoyens du Reich“ comme „personnae non grata“ ou organisations terroristes

XXII) La proposition de loi relatif à la coopération policière internationale contre les réseaux criminels

Sita, 19 avril – 4 mai – 9 juin 2023

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Die Prinzessin von Preußen

Junge Jahre einer Prinzessin

Anna von Szaborgberg war lutheranische Theologin und Priesterin, Blauhelmsoldatin, Diplomatin, Außenministerin und zuallererst adoptierte Stieftochter des Fürsten von und zu Szaborgberg. Bevor sie ein Regierungsmitglied wurde war sie dreimal im „globalen Süden“ unterwegs. Ihre Abenteuerstrecke reichte vom Amazonas bis zum Himalaya. Sie war offiziell als Missionarin in Lateinamerika unterwegs (im Wahrheit operierte sie als Lutherische Spionin, gegen einen korrupten Kardinal, der über die kolumbianische Kartell-Unterwelt herrscht), dann als Blauhelmsoldatin in Äthiopien und Libanon und zuletzt als „ausländische Agentin“, die den Kaschmirkonflikt, zwischen China, Indien und Pakistan beruhigen sollte. Die Erbfeinde der von Szaborgbergs sind indes die Nationalbolschewisten, die sich von dieser Adelsfamilie betrogen fühlte. Ihr Adoptivvater entschied sich der Bundesrepublik treu zu bleiben, solange seine Privilegien behalten konnte. Die Nationalbolschewisten wollten ihm zwar zum „Reichsoberherr“ ernennen, doch er blieb unbeeindruckt und zerschlug die Bewegung von Innen heraus. Die Schergen der nationalbolschewistischen Bewegung haben ihren Plan einer „nationalen Revolution“ nicht aufgegeben und versuchten die Prinzessin Anna in Kolumbien als Geisel zu nehmen, sie haben mit antizionistischen Antisemiten ein Jahrzehnt von Chaos im Nahen und Mittleren Osten verursacht und wollten Komponenten für Nuklearwaffen im Kaschmir stehlen. Als junge Ministerin eines deutschsprachigen Landes integrierte sie dieses Land, das Herzogtum Tautâbòrg in die EU nachdem sie die internationalen connections der Nationalbolschewisten weltweit ausgeschaltet hat. Da Tautâbòrg deutschsprachig und früher ein Vasallenstaat Preußens war, wurde Anna – eine leidenschaftliche Pferdereiterin – meistens „Prinzessin von Preußen“ genannt. In Wahrheit können Sprecher des Hochdeutschen den tautaborgischen Dialekt kaum verstehen.

Karriere in der Regierung

Es war der 31. März als Anna an ihrem 31. Geburtstag ihre azurblauen Augen aufmachte. Kurz vor Sonnenaufgang fing es an zu schneien. Sie war es gewohnt früh zu beten, bevor sie als Blauhelmsoldatin trainierte. Die Lutherbibel, die ihr Gefährte Bruno Santiago del Barocco y Cortez geschenkt hatte sie für ihre Gebete immer dabei. Nach dem Vaterunser, dem protestantischen Kreuzzeichen und dem Kuss auf ihre Kreuzhalskette mit der Lutherrose im Zentrum des Kreuzes, bereitete sie sich aufgeregt auf die Audienz mit dem Herzog vor. Sie wusste warum der Monarch sie eingeladen hatte, deswegen war sie in dem traditionellen Zeremonialkleid des Hauses Szarborgberg angezogen. Die „Indigo-Garde“ des Herzogs trug eine ärmliche Uniform wie jene, die sie begleitete. Im Thronsaal angekommen legte Anna ihr antikes Reiterhelm ab. Als sie Schritte hörte kniete sie schon bevor die zwei Hofdiener die Goldene Tür öffneten.

Der Hofstaat kniete nieder als Herzog Franziskus-Martinus IV. souverän und mit strengem Blick den Raum betrat. Begleitet von seinen zwei „Gorillas“ überreichte er einem Hofdiener ein Schreiben in altgotischer Schrift, bevor er sich auf dem Hermelinthron setzte. Der Diener las vor, dass Seine Majestät der Herzog Frau Doktor Theologiae und Generalissima Emirita Anna Julia Sanna Elena Karolina Maria Louisa, Die Prinzessin und Erbfürstin von und zu Szaborgberg dazu eingeladen hat die Ernennung Ihrer Majestät zur Ministerin für Auswärtiges und europäische Integration anzunehmen. Nachdem Anna mit spürbarem Herzklopfen die Einladung formell bejahte, schwor sie auf die Staatsverfassung und ihrer Lutherbibel ihrem Amtseid. „So wahr mir Gott helfe“ waren die letzten Worte, bevor der Herzog aufstand und alle wieder knieten. Als alle wieder aufstanden ging der Herzog mit zwei Leibwächtern und zwei Hofdienern zu Anna. Vor Ihr bekam er vom Diener Links die Ernennungsurkunde und vom Diener rechts eine Kugelfeder mit japanischer Tinte. Franziskus-Martinus IV. unterschrieb langsam, elegant und graziös mit einem kleinen Lächeln. Anna hielt ihre Affekte mit einem langsamen Atemzug zurück um ihres gewollten Amtes als würdig zu erscheinen, sie dachte dabei an ihre Achtsamkeitsübung bei den buddhistischen Gefährten während ihrer Mission im Kaschmir. Dann richtete sich ihr Blick auf ihrem neuen Boss. „Frau Doktor und Generalissima Anna, Prinzessin von und zu Szaborgberg, Wir gratulieren Sie zu ihrer Ernennung, die Wir soeben angeordnet haben. Hiermit beginnt Ihre Amtszeit in diesem Mommente und wird nach dem Wohlgefallen Unserer Majestät der Herzog enden oder gebilligt.“ Der Monarch erhob nach dieser Erklärung seine rechte Hand, die die neue Ministerin schüttelte. „Allerbesten Dank!“ sagte Anna zum Staatsoberhaupt, bevor er wieder dem Thronsaal verließ. Die Hofdiener verzierten Anna mit einer zeremoniellen Halskette mit der blauen Symbol des Erdkugel die an der Kette hing, so wie es für einen Außenministers vorgesehen war.

Beim verlassen des Thronsaals wurde die frischgebackene Ministerin vom Parlamentspräsidenten gratuliert. Das Parlament war am Palast direkt angeschlossen, weswegen Anna vom Chef der Legislatur zum Plenarsaal begleitet wurde. Die Ministerin stellte sich einem Vertrauensvotum der Parlamentarier, den sie bestand. Das Votum fand im geheimen statt damit die Abgeordneten nicht allzu sehr unter Druck stehen. (Annas hatte zuvor ihre Freunde im Parlament gebeten ihren Kollegen über ihren Lebenslauf und Leistungen aufzuklären. Den Chef der parlamentarischen Opposition hatte sie selbst getroffen und versuchte ihm zu überreden für sie beim Vertrauensvotum zu stimmen. Dieser war jedoch zu stolz, obwohl er mit ihrem Programm grundlegend einverstanden war.) Der Parlamentspräsident gratulierte nochmals der Ministerin nachdem sie das Votum bestand und erteilte ihr das Wort. Sie stand mit blauem Kleid gegenüber den sogenannten „Olivenmännchen“. Parlamentarier wurde so wegen ihren traditionellen olivgrünen Anzugs genannt. In ihrer Antrittsrede kündigte sie überraschend an die EU-Kandidatur sowie EU-Eintritt ihres Landes gesetzlich bindend zu machen. Selbst die Proeuropäischen haben nicht damit gerechnet, dass Tautâbòrg in kürze EU-Beitrittskandidat werden könnte, doch der energische Auftritt der Außenministerin ermutigte die Parlamentsmehrheit zum Applaus. Alle zwölf Gesetzesentwürfe des Außenministeriums wurden am Ende der Sitzung angenommen. Nach ihrer Arbeit im Parlament feierte Anna am Abend ihren Ernennungstag und Geburtstag zugleich. Sie trank dabei drei Gläser Tautâbier Um Mitternacht unterschrieb Ministerin von Szaborgberg ein Dekret, welches die nationalbolschewistische Bewegung als internationale Terrororganisation anerkennt. Die Agenten des Außenministeriums unterwanderten seit des Inkrafttreten des Beschlusses die lutherische Glaubensgemeinschaft, die Blauhelmtruppen, der Diaspora von Tautâbòrgern und den Bundesgenossen Annas um den internationalen Terrorismus weltweit massiv zu schwächen. Sieben weitere Proeuropa- und Antiterrorgesetze entwarf sie innerhalb von nur zehn Tagen und oft zum ärger ihrer Kollegen, die es nicht gewohnt waren ihrem tüchtigen tempo nachzufolgen. Als ihr Mandat endete wurden die allermeisten Nationalbolschewiken ausgeschaltet und Tautâbòrg wurde längst Vollmitglied der Europäischen Union.

Im Unionsvertrag war aber für Tautâbòrg weder offene Grenzen, noch die gemeinsame Währung oder gemeinsame Sicherheitspolitik vorgesehen. Grenzstreitigkeiten mit allen Nachbarländern (Dänemark, Deutschland, Polen und Schweden), sowie langjährige interne Instabilitäten haben zuvor die europäische Integration des Herzogtums nach dem Ende des Kalten Krieges erschwert. Anna konnte die Beziehungen mit den Nachbarn verbessern, doch sie hielten heimlich und manchmal offen immer noch daran fest die Ressourcen der Ostsee und Grenzgebirgen ausbeuten zu können, weswegen Anna begann einen Groll gegen die imperialistische Wirtschaftspolitik von Staaten und Groß-Konzernen zu hegen.

Am Ende ihrer Karriere ernannte sie drei Staatssekretäre, die sich jeweils um den internationalen Verkehr, die Währungsreform und nationale Sicherheit beschäftigten. „Das sind die kompetentesten Mitarbeiter meines Ministeriums.“, dachte Anna, „Den Herzog, Erberzog und den Parlamentspräsidenten habe ich schon mitgeteilt, dass sie Schwierigkeiten haben werden bessere Kandidaten zu finden, die in meine Fußstapfen treten könnten.“ Allerdings soll Gerüchten zufolge der Herzog wegen seines hohen Alters bald abdanken und der neue Parlamentspräsident pflegte mit dem Erbherzog schlechte Beziehungen. „Der Erzherzog und der Präsident haben mir ihr Wort gegeben, dass sie mein Gutachten nicht ignoriere werden. Falls sie es dennoch tun werden muss ich meine Machtbefugnisse und letzten Einflüsse ausnutzen, damit kein Vollidiot aus dem Innenministerium meinen Posten übernimmt.“ Wagner hatte schon zwei Gefolgsleute zu Ministern gemacht. „Je länger dieser Wagner in der Regierung sitzt, desto einflussreicher wird er. Die meisten Minister unterstützen jetzt eher seine Politik als die meine. Wenn ich nicht jetzt auch mehr Personalpolitik und Machtpolitik betreibe, wird dieser Ar… noch übermächtig. Dieser Abschaum wäre bereit meine Verträge und Gesetze abzuschaffen nur, damit mein Name in Vergessenheit gerät. Ich musste meinen Groll aufheben, vergeben oder vergessen, damit mein Lebenswerk nicht zerstört wird. Wagner war indes schon immer eifersüchtig gegenüber alle Minister, die bessere Arbeit gemacht haben als er. Ich bin die einzige im Ministerrat, die er noch nicht aus dem Amt gemobbt hat.“ In ihrem Büro dachte die Ministerin, während sie wie gewohnt ihren Kaffee trank, an alles was sie noch tun könnte, bevor ihr Mandat und damit ihre Karriere zu Ende ging. Nach ihrer Kaffeepause verbrachte sie den Rest des Tages damit Botschafter anzurufen, Treffen zu planen, Gesetzesvorschläge zu verbessern, ihren Kollegen vom Finanzministeriums nach mehr Geld zu fragen um ihre neuen Projekten zu ermöglichen, Berichte über internationale Cyber-Kriminalität und den Zoll zu lesen, die Beschwerden vom Wirtschafts- und Energieministerium anzuhören und einiges mehr. Am Ende ihrer Arbeit schrieb sie sie in ihrer Geheimsprache mit einer von ihrer entwickelten Fantasieschrift auf, was sie am morgigen Tag und den Rest der Woche tun soll oder könnte. Es war fast Mitternacht als sie ihr Ministerium am Sontag verließ. Sie betete zu Gott und bat um Vergebung, dass sie am Sontag gearbeitet hatte. „Ein guter Politiker ist ein schlechter Frommer. Machiavelli hatte recht.“ Sie hat schon seit Jahren nicht mehr am Sontag geruht, obwohl der präsidierende Minister die allwöchentliche Ministerratssitzung am Samstag verlegt hatte.

Am Samstag hatte sie zuletzt mit Wilbur bzw. Witold am Telefon gesprochen. Sie hatte ihn aber ganze Woche lang nicht gesehen und hatte sonst nur wenige, kurze Telefonate mit ihm. „Was macht er nur?! Was ist verdammt noch mal los?!“ Tausende von Gedanken trieben sie diese Nacht von Sontag auf Montag in die Schlaflosigkeit. Die ganze Nacht lang betete sie zu Gott, dass es ihren Lebensgefährten gut ergehen werde. Bei Sonnenaufgang bekam sie eine Nachricht von ihrem Lebensgefährten: „Ich liebe dich ANNA verzeih mir bitte wenn ich diese nacht nicht aus schloss wildewehr lebend rauskomme.“ Anna fühlte sich kränklich und wurde abwechselnd weiß rot, gelb, grün, blau im Gesicht, brach in Tränen aus und befahl sofort zu diesem Schloss gefahren zu werden. Erst im Krankenhaus sah sie ihren angeschossenen und schwer verletzten Wilbur. „Zum Glück ist er jetzt ausser Lebensgefahr.“ versicherten die Ärzte. Nach der Erleichterung fühlte sie wie sie wütend wurde: „Ich könnte ihn ein Tracht Prügel verpassen. Warum hat er mir nichts gesagt?! Ich hätte seine Operation ungefährlicher machen können, hätte er nur um Unterstützung gefragt. Wie konnte er nur mir nicht vertrauen!?“ Darauf antwortete ein kuriose Gestalt: „Ich verbat ihm strengstens auch nur ein Wort darüber zu sagen: das Innenministerium hat sein Mobiltelefon verwanzt und ihren auch Frau Ministerin.“ Anna sah ihn genervt und perplex an. „Gestatten, Moritz Paul, der Oberkommandant der Azurgarde. Sie Frau Ministerin werden wie alle Minister meinen Bericht über die Vorfälle in Schloss Wilde Wehr lesen können. Mit Ausnahme des Innenministers; er wird wegen Hochverrats angeklagt.“ Ihr Lebensgefährte hatte schon schlimme Schurken hinter Gitter gebracht und war in riskanten Operationen verwickelt, aber diese Ereignisse sprangen ihr Vorstellungsvermögen. Als der Oberkommandant ihr alles erklärte, sagte sie während sie das Kreuzzeichen machte: „Gott sei dank ist er davon gekommen. Meine Gebete wurde erhört: der Herr konnte meinen Lieben mit einem seiner Schutzengeln retten.“

Annas Lebensgefährte

Witold „Wilbur“ Witbòrg kannte Anna schon zehn Jahre vor ihrer Ernennung zur Ministerin. Sein Boss war indes Annas Erzfeind: der Innenminister Heinrich Wagner, weswegen Wagner seinen Staatsdetektiv genannt „Wilbur“ oft unter Bewachung setzte. Witold fand später heraus, dass sein Minister ein Mitglied der Sekte WW – Waffen-Wesen war. Wagner wollte Anna am Ende ihrer Karriere sogar umbringen. Witold konnte mit der Azurgarde als Spione die Sekte infiltrieren und die WW in ihrem Schloss „Wilde Wehr“ zerschlagen. Der Detektiv hatte Jahrzehnte gegen Sekten ermittelt z.B. Okkultisten, Pseudoheiler, Dämonenanbeter, Neuheiden, Primitivsten, Chaosmagier, Anarchisten, Verschwörungswirren und selbsternannte Querdenker. Oft waren diese Arten von Sekten im Bunde mit den Nationalbolschewisten, wenn sie spürten, dass der Staat gegen sie ermittelte. Wagner war in jungen Jahren auch Nationalbolschewist, doch verließ er die Bewegung infolge eines Machtkampfes. Zusammen mit dem jungen und damals linksradikalen Witold waren sie zusammen mit zwei Dutzend anderen Bekannten in einer kriminellen Organisation. Witold stieg aus und dachte Wagner hätte dasselbe getan; deswegen verschwieg er seinen Kollegen seinen Jugendskandal, bis er im Schloss „Wilde Wehr“ herausfand, dass er „Oberherr“ einer Sekte wurde, die aus den Schergen der einstigen Organisation gegründet wurde. Das Ende der WW war der Zenit der Karriere des Detektivs; danach verbrachte er immer mehr Zeit mit Familie und Freunden, sowie mit Anna, die er erst im Rentenalter nach 50 Jahren Bekanntschaft heiratete.

Annas Adoptivvater

Das Ehepaar unternahm seine Flitterwochen in Überresten oder ehemaligen Protektoraten des Britischen Weltreiches in Europa (d.h. Anjou, Aquitanien, Normandie, Picardie, Hannover, Maasland (also Benelux-Ländereien) und Rheinland), sowie in der Republik Zisalpinien. Nach ihrer Rückkehr gingen sie ihren alten Gewohnheiten nach. Anna las Zeitungen und schrieb Kolumnen für Zeitungen, während Wilbur sich der Gartenarbeit widmete. In seinem Ruhestand blieb Wilbur weiterhin aktiv, aber wollte aber weniger mit den Detektivfällen zu tun haben. Nur bei jeder vierten Bitte half er den jüngeren Ermittler bei ihren Fällen. „Ich liebe diesen Beruf, auch wenn ich jetzt im Ruhestand bin, doch will ich nicht in diesem Alter nicht ins nächste Abenteuer hineinrutschen.“ Die besten Ratsschläge schrieb Wilbur schließlich in einem 200-Seitigen Buch nieder, welches auch gleichzeitig als seine Memoiren angesehen werden könnte. Ein Jahr lang hat er daran gearbeitet. Im Oktober war er damit fertig geworden. Ein halbes Jahr später als er im Garten die Erde bestellte machte er eine seltsame Entdeckung. Manuskripte andere Dokumente und sogar Artefakte von Annas Adoptivvater lagen im Garten unter Erde verstreut oder sogar versteckt. Anna war von Wilburs Entdeckung nicht erfreut, weil sie wusste warum diese Sachen versteckt wurden.

Schnell sammelte sie alles was ihr Ehemann (wieder-)entdeckt hatte. Anna hatte Schwierigkeit ihren Zorn zu verbergen, aber noch schwieriger war es Wilbur zu erklären warum sie überhaupt wütend war. Wilbur half seiner Frau dabei, doch bemerkte er, dass sie diese Entdeckung gar nicht erfreute. „Das hätte erst in drei Generationen entdeckt werden sollen; weder der Inhalt noch die bloße Existenz dieser Gegenstände sollte gewusst werden, denn dies war der Letze Wille meines Vaters.“ Wilbur schämte sich dafür. Er hat es gut gemeint, aber nicht gut gemacht. „Heute um Mitternacht werden wir alles wieder begraben.“ Sie warteten eigentlich bis drei Uhr morgens als sie sicher waren, dass niemand in der Nachbarschaft noch wach war, bevor sie alles wieder unter die Erde begruben. Wilbur hatte sich schon dreizehn Male entschuldigt. „Ist schon gut, Wil.“ Anna machte eine Pause, die einige Atemzüge dauerte, während sie Wilbur anstarrte. Dann erhob sie die Stimme und sagte stramm: „Versprich mir aber, dass du darüber nicht mehr sprichst!“ Wilbur antwortete mit einem schlichten „Ja!“ „Aber auch darüber zu denken sollten wir strengstens vermeiden.“ Bei Wilbur flossen schon Schweißtropfen. Er dachte: „Nimmt Anna jetzt den Letzten Willen nur ganz ernst oder sind diese Dokumente eine Art Fluch, dass erst in sieben Generationen gebrochen werden kann?“ und dann sagte er zu Anna: „Ich versucht’s mein Schatz.“ Der strenge Blick seiner Frau gab ihm zu verstehen, dass er es nicht nur versuchen sollte. Die beiden kannten sich so gut, dass viele ihre non-verbale Kommunikation oft nicht einmal bemerkten. Beide Duschten sich kurz ums Schweiß und Schmutz abzuwaschen, zogen ihre Nachtbekleidungen an und gingen wieder ins Bett. Beide taten so als ob sie schlafen würden, bekamen aber kaum ein Auge zu.

In der Nacht um Monatsende kam Kommissar Jûn Omyel zu besuch bei den Szaborgberg-Witbòrgs. Er war ein Offizier der Nationalgarde als auch einer der wichtigsten Ermittler der Kriminalpolizei seines Landes. Als Jûn vor der Tür stand war ein Vollmond am Himmel und ein grauer Nebel in der ganzen Umgebung zu sehen. Beide Szaborgberg-Witbòrgs haben schon fertig zu Abend gegessen und haben sich ein Tee gemacht. Als sie Jûn ganz höflich begrüßten und ihm ein Tee anboten, den er auch ohne zu zögern annahm, trank er scheinbar (fast) gar nichts. Er saß mit Anna und Wilbur am Esstisch. „Warum bin ich nicht früher gekommen.“ dachte sich der Kommissar, der zuletzt nur etwas zum Frühstück gegessen hatte. Anstatt seinen Gastgebern nach essen zu fragen, wollte Jûn lieber mit ihnen diskutieren. Sie sprachen über persönliche sowie aktuelle Themen; wie ihren Erinnerungen zu den Ermittlungen, das Zustand der Kriminalität heutzutage im Land. Jûn kannte Wilbur seit Kindestagen, doch Anna hatte er schon Mal getroffen, ohne, dass sie davon zunächst wusste. Der Abend endete mit einer Liste von Witzen, die Wilbur wie in einer One-Man-Show hervorragend vorgetragen hatte. Der so erste Jûn musste fast vor Lachen weinen. Kurz vor Mitternacht ging Jûn noch auf die Toilette und verabschiede sich bei dem Pärchen. Anna bemerkte in den letzten Minuten seines Aufenthalts, dass seine Teetasse erst vor kurzem leer war. „Wer trinkt denn schon kalten Tee?“ dachte sie sich.

Kommissar Jûn Omyel war für viele schon immer ein komischer Kauz. Bei Anna schien es so als hätte sie ihn schon einmal gesehen bevor sie Ministerin wurde. „Mein Ehemann hat ihn mir schon vor Jahren vorgestellt und ich wusste ein Mann mit solchen Marotten kann es nicht zweimal geben, aber … habe ich im Kaschmir nicht etwas gesehen oder gehört, was mich an Jûn erinnert?“ Sie konnte ihre Frage nicht beantworten. Fast immer als sie Jûn traf, musste sie an die Ereignisse im Kaschmir denken. Als sie ihre Erinnerungen aus dem Kaschmir an diesem Abend erzählte fühlte sich Jûn scheinbar ziemlich unwohl und lenkte daher geschickt ab. Kurz vor dem zu Bett gehen hatte Anna ihr Schlafanzug aus Kaschmir getragen. Sie trug es nicht oft, obwohl es sehr schön aussah. „Erinnere mich, mein Liebster, so sagte Anna, dass ich von deinem Freund mehr wissen möchte; nämlich über seine Kenntnisse zum Kaschmir, die er mir vor kurzem wieder verschwiegen hatte.“ „Die einzige Möglichkeit das zu wissen, so antwortete Wilbur seufzend, ist ihm zu fragen. Und wir wissen, dass er es uns nicht sagen will, genauso wie wir wissen, dass wir seinen Willen zu respektieren haben.“ „Ja das weiß ich, doch! Aber… gäbe es nicht Leute die über ihm auch gut wissen?“ „Naja … jein; das ist kompliziert. Eigentlich könnte uns nur Pohl vielleicht weiterhelfen, doch er ist mit Jûn schon seit langem nicht mehr befreundet und die Ursache ihres Streits habe ich bis heute nicht ganz richtig begriffen.“ Oberkommissar Pohl von Landarwyrth hatte in Wirklichkeit nie ein sehr freundschaftliches Verhältnis, sondern eher bestenfalls eine respektvolle Partnerschaft, mit Jûn gehabt. Pjier von Landarwyrth war Polizeichef und ein Freund von Annas Vater, bis es zum Bruch kam. Der Fürst von und zu Szaborgberg hatte seiner Adoptivtochter nie erklärt, wie und warum es zum Bruch kam. So wie bei den Geheimdokumenten und -Artefakten, war er eine ehrliche Person, die jedoch vieles verschwieg. Er galt bei allem als ein Ehrenmann, doch keiner Vertraute ihm voll und ganz.

„Soll ich wieder mit Pohl Kontakt aufnehmen?“ fragte Anna. „Pohl ist wie sein Vater Pjier; entweder mag er dich oder nicht, aber er bleibt kategorisch. Selbst wenn er dir einen Gefallen schulden würde, würde er dir nur das strikte Minimum sagen was er über Jûn wüsste und noch weniger über den Bruch zwischen seinen und deinen Vater.“ „Meine Chancen sind also sehr gering und es wird sehr wahrscheinlich in einer Blamage bis in die Knochen enden, aber … aber …“ Anna machte eine Pause bevor sie ihren Satz beendete: „… es ist nicht mein Weg: ich will es wissen, vor allem wenn ich nichts dabei zu verlieren habe. Ich schäme mich nicht dafür!“ Sein Ehemann rollte die Augen, da er sich schämte einen höher gradierten quasi verhören zu beabsichtigen. Oft stritten sich die zwei über den Umgang in hierarchische Muster. Während Anna mit dem Glauben aufwuchs ihre „Untertaten“ oder „Schäfchen“ müsste ihr gegenüber gehorsam sein, musste Wilbur die Willkür seiner Vorgesetzten stillschweigend erdulden. Die halbe Nach lang arbeitete Anna an seinem Brief an Oberkommissar Pohl von Landarwyrth. Sie schrieb mit ihrer leserlichsten Schrift und ihrem diplomatischsten Sprachstil, so wie es von einer Aristokratin zu erwachten war. Nach ihrer Unterschrift aus azurblauer Tinte in Form eines Karolingischen Monogramms ließ sie mit einer Zündkerze blauen Wachs schmelzen, damit einige Tropfen auf dem Papier fallen und sie mit einem Siegelstempel das Siegel ihres Hauses markieren konnte. Der Brief war kaum eine Seite lang. Wilbur wollte ihr abraten diesen Brief zu schreiben, doch stattdessen hat sie ihn dazu überredet bei der Verfassung des Briefs zu helfen. In ihrer Übereifrigkeit wollte sie nicht auf dem nächsten Tag warten, während ihr Ehemann kurz vor der Fertigung des Briefs eingeschlafen war. Pohl antwortete erst gut drei Monate auf diesen einen Brief. Bis dahin verlief der Frühjahr im Gegensatz zum Winter gar nicht so ruhig bei den Szaborgberg-Witbòrgs.

„Pohl hat sicher viel zu tun.“ dachte Anna. „Und wenn nicht ignoriert er mich absichtlich oder hat meinen Brief schlicht vergessen.“ Sie hatte es sich deswegen oft vorgenommen ihm zu sehen, doch machte oft andere Sachen stattdessen. Ihr Ziel mehr zu erfahren, hat sie indes nie aus den Augen verloren. Sie vereiste mit Wilbur während den Osterferien im Rajasthan. Am letzten Wochenende ihres Urlaubs knüpfte sie Verbindungen mit alten Bekanntschaften und sogar Erzfeinden, die sich während der Kaschmir-Konferenz im Rajasthan getroffen haben. Anna gab sich manchmal als Journalistin aus und ihr Ehemann als Privatdetektiv. In ihrem kleinen Heft schrieb Anna alles nieder was sie brauchte, doch konnte sie es nicht retten, da es infolge eines Attentat von Extremisten in Flammen aufging. Anna war froh nicht wie ihr Hefts geendet zu haben, doch erinnerte sie sich nicht mehr an die Hälfte der niedergeschriebenen Informationen. Nach diesem Vorfall wurde Wilbur ziemlich Paranoid, da zwei der Terroristen scheinbar spezifisch Anna und Wilbur töten wollten. „Unmöglich! sagte Anna zu Wilbur. „Ich habe keine echte Feinde mehr in diesem Teil der Welt.“ Anna wollte dies Wilbur beweisen, indem sie die Namen der 18 Terroristen zeigte. Keiner von denen kam in der Tat aus dem Kaschmir. Wilbur blieb dennoch unruhig: „Und was wäre wenn der… (er sprach ganz leise) War’Khan-Clan insgeheimen diesen Anschlag orchestriert hätte?“ „Sie sind kriminell und skrupellos,“ sagte Anna „doch viel zu feige dafür.“ In Wahrheit schreckte dieser kriminelle Clan nicht einmal davor mehr zurück: auf dem Rückflug schlief Anna und Wilbur während sich ein Agent der indischen Regierung und einer des War’Khan-Clans gegenseitig vergifteten. Hätte der letztere Agent gewusst, dass Anna im Flugzeug saß, hätte er sie zuerst vergiftet.

Der War’Khan-Clan

Der War’Khan-Clan hatte Vorfahren in Indien und in Pakistan. Deshalb wurde diesem Clan während des Kaschmirkonflikts vorgeworfen einen Fuß in beide Lager zu setzten. Der Clan aus der Kriegerkaste wurde somit in beide Länder verhasst. Als Rhugghal War’Khan neuer Clanoberhaupt wurde, wollte er Ruhm und Ehre des Clans wiederherstellen, indem er eine Atombombe stahl oder später sogar selbst eine baute. Viele Mitglieder seines Clans gingen bei diesem verrückten Unternehmen ums Lebens. Mit dieser Atombombe bezweckte Rhugghal den Frieden zu erzwingen zu können und auch als Gottheit angesehen zu werden. Er spielte oft mit dem Gedanken Afghanistan oder Bangladesch mit einer Atomwaffe zu vernichten, um seine Terrorherrschaft über den Rest des Subkontinents zu errichten. Er versprach den Nationalbolschewisten letztlich auch eine Atombombe zu bauen, wenn Bauteile und angereichertes Uran stehlen würden. Anna und seinen Kameraden gelangte es dieses verbrecherische und verrückte Unternehmen zu verhindern. Rhugghal und seine Nachfolger waren und blieben von Rachsucht zerfressen, doch befürchteten sie – nachdem sie erheblich geschwächt wurden – dass es keine gute Idee sei eine UN-Diplomatin, die später auch noch Außenministerin wurde, zu ermorden. Noch konnte Rhugghal und seine Schergen dem indischen Staat verheimlichen was wirklich im Kaschmir geschah. Erst mit dem Anschlag an der Kaschmir-Konferenz im Rajasthan beschloss die indische Regierung zu energischen Mitteln, da ein Spion – den Anna kannte – in extremis berichtet hatte, dass dieser Clan im Hintergrund eine wichtige Rolle bei diesem Anschlag gespielt hatte.

Pohls Antwort

„Damit habe ich echt nicht gerechnet!“ sagte verblüfft die 72-jährige Anna als sie Pohls Brief mit seiner Antwort zum zweiten Mal las. „Was soll das überhaupt bedeuten?!“ Der Oberkommissar schrieb ihr er könne ihr nur sagen, dass er nichts weiß: wo Jûn damals war oder etwas mit ihrer Mission im Kaschmir zu tun hatte kann er sich nicht erinnern. Ansonsten meinte er: „Mit Verlaub Prinzessin, ich habe mir geschworen nie wieder über die Sache mit Eurem Vater, seine Seele möge in Frieden ruhen, zu reden, aber“ als Anna weiter lass, lass sie die folgenden Zeilen dreimal, zuletzt auch mit einer besserer Lesebrille. „ich bezweifle, dass Jûn noch Euer geliebter Vater die Antwort auf Eure Fragen geben oder gegeben hätten könnten. Kommissar Emeritus Kleyn weiß mehr darüber bescheid, aber ist nun in Pension. Er wird Ihnen zwar eventuell Indizien geben können, da Jûn mit ihm Jahrelang gearbeitet hatte, aber mit größter Sicherheit wird er nichts weiteres sagen können.“ (…)

Kommissar Kleyn

Es stellte sich heraus, dass in Wahrheit Kleyn noch als illegaler Geheimagent aktiv war. Kleyn spielte ein doppeltes Spiel. Er bereicherte sich durch die internationale Kriminalität z.B. durch den Waffenhandel. Jûn hat er zunächst missbraucht, dann in die Kriminalität verleitet, dann ihn betrogen, so wie er Pohl, Pjier und Fürst von und zu Szaborgberg betrogen hatte. Durch die Ermittlungen Wilburs fürchtete Kleyn in den Verdacht zu kommen, weswegen er Beweismaterialien zerstörte und in der Pension ging. Kurz bevor die WW-Sekte verhaftet wurde, hatte er sich mit ihrem Anführer zerstritten, obwohl Wagner von Kleyns verbrechen bescheid wusste. Kleyn war zu stolz um sich irgendeinen ganz zu unterwerfen. (…)

Letztlich wurde der Betrüger durch Anna und Wilbur in das Licht geführt und entlarvt. Anna schlug ihm einen faustischen Pakt vor, indem sie und Wilbur nichts den Behörden sagen werden, wenn der ohnehin schon todkranke Kleyn ihr alles erzählen würde, da das Paar wusste, dass Kleyns Auftragskiller sie finden würden, bevor sie ein Wort sagen konnten. Kleyn sagte alles war er wusste bevor er an seinem Sterbebett seinen letzten Atemzug gab. Die Killertruppe erwartete sie als Polizisten verkleidet vor Kleyns Haustür, als beide das Haus verließen, doch Anna zeigte denen die Notizen, die sie gemacht hatte. Die Killertruppe begriff, dass ihr Auftraggeber tot sei, doch wollte sie dennoch bezahlt werden. An Kleyns Killernetzwerk musste das Paar Geld zahlen, um mit dem Leben davon zu kommen, obwohl Kleyn die Killer testamentarisch zu seinen Haupterben ernannt hatte. 250.000 T-Mark bekamen sie von den Szaborgberg-Witbòrgs. Anna wurde wütend, weil sie zweimal an in einer Nacht gegen ihre Prinzipien verstoßen hatte: einmal durch ihr Schweigen anstatt, nach dem Motto „ius talionis“ bzw. „Strafe muss sein“, Kleyn anzuzeigen und ein weiteres Mal indem sie fast all ihre Ersparnisse an Serienmörder verschenkte. Kleyn sagte ihr alles was er wusste, aber nicht die ganze Wahrheit – und für alle bisherigen Erkenntnisse musste sie mit ihren moralischen Werten und mit Geld zahlen.

Die andere Hälfte der Wahrheit über Anna

Auf einen Flohmarkt verkaufte Anna eine Woche nach Kleyns letztem Besuch einige Gegenstände um den Geldverlust ein wenig zu kompensieren. Am Ende tauschte sie ihren letzten Gegenstand mit einem anderen kryptischen Gegenstadt vom Nachbarverkäufer aus. Der gewonnene Gegenstad kam aus dem Kaschmir und enthüllte die letzten Geheimnisse von Annas Vergangenheit sowie über den Bruch zwischen Fürst Szaborgberg und Pjier, aber nicht die Geheimnisse, die ihr Adoptivvater erst viel später preisgeben wollte.

Epilog (Spoiler!)

Das Paar adoptierte im Folgejahr zwei Kinder jeweils aus Kaschmir und Rajasthan. Sie waren weise und der Spion hatte nicht die Zeit um sie zu sorgen, als er sie fand. Anna und Wilbur hatten selbst keine Kinder, waren aber überglücklich, als das Angebot des Spions annahmen. Der Spion (Dipesh) war der Sohn jener im Kaschmir gefallenen Soldaten (Dinesh), der Annas Diplomaten-Team gerettet hat. Ramesh und Kamla nahmen den Nachnamen (von und zu) Szaborgberg-Witbòrg an sowie lernten Hochdeutsch und den tautaborgischen Dialekt. Erst mehrere Jahrzehnte nach dem Ableben ihrer Adoptiveltern werden sie von Dipesh die Geheimnisse ihrer Herkunft erfahren: Rameshs Eltern waren indische Nationalbolschewisten und Kamla war das ausgesetzte Mädchen des War’Khan-Clans. Erst während ihrer Generation wurde der Kaschmirkonflikt beendet. Während dieser neuen Friedenszeit gründeten beide Familien und strebten nicht mehr abenteuerliche Karrieren an. Kamlas und Rameshs Kinder, bzw. Annas Adoptivenkelkinder erfuhren letztlich die Geheimnisse welches Fürst von und zu Szaborgberg für ein Jahrhundert lang verheimlichen wollte. Eines davon war, dass der Fürst schlicht ein Betrüger war. Das Haus Szaborgberg hat es vor ihm nie gegeben. Die Adoptions- und Erbschaftsdokumente waren alle vom falschen Fürsten gefälscht. Da aber diese Schurkentaten verjährt waren, hat sich technisch gesehen eine Lüge zur Wahrheit entwickelt. Die Urenkelkinder wurden somit wirklich Teil des Hochadels und pflegten dessen Sitten, während ihr Urgroßvater nur auf dem Papier lediglich zum niedrigen Adel gehörte.

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Dictionarium historicum de notionibus magnarum

§1 On the idea of human dignity

Dignity is a necessity and a moral absolute. Humans attribute this idea of dignity to them, so that they avoid evil things they do toward them. The idea of human dignity was recognised as an universal necessity after WWII. Before it was the national dignity which was the supreme moral instance. The morality based on small-group membership feeling didn’t work out to secure peace beyont the national frontiers. Only when human dignity became recognised by the law and anchored in the social mentalities individuals and peoples could have a minimum of security. Universal love is necessary, but need also laws for orderly materialisation. The materialisation of human rights became a moral necessity in the early 21st century, even after the rise of populisms in 2015. In the begining of the 2020s many countries are deeply divided between humanistic-inclusive nationalism and exclusive nationalism. The future of intra- and international friction will basically come on the factors of habiti, money, power and much more.

J. Sita,12/03/2023

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Diaspora gegen Despoten

Despoten unterstützen sich gegenseitig, während die Diasporas unterdrückter Völker m.E. nicht eng genug miteinander kooperieren. Während sich die kurdische, iranische, tibetanische, uighurischen, ukrainische, eritreanische, sudanesische, kubanische etc. communities der Diaspora unter sich bzw. ihres gleichen vernetzen verfehlen sie den Factum, dass die Diktatoren im Mittleren Osten, Afrika, Osteuropa, Ostasiens, Lateinamerikas sich unterstützen. Ich schlage diesen communities vor ihre Kräfte zu vereinigen, da sie zusammen mehr bewirken können und ihre Landsleute besser helfen können, sowie die gleichen freiheitsliebenden Interessen haben. Die Exiliranerin Masih Alinejad bemerkte zurecht, dass ein Kampf gegen den Diktator Putin auch ein Kampf gegen das diktatorische Mullah-Regime bedeutet, da die Diktatoren unter sich unterstützen, damit kein Dominoeffekt entstehen solle, wo wie 2011 ein Diktator nach dem anderen in den arabischen Ländern gestürzt wurde. Was auch sehr gefährlich ist, ist, dass die Regierungen Chinas, Irans und Russlands auch seit langem nicht mehr scheuen Oppositionelle in asylgebenden Ländern zu ermorden. Demokraten aller Diasporas müssen sich zusammentun, da die Sicherung der Demokratie nicht nur im Ursprungs-/Geburts-/Herkunfts-/Heimatland zustande kommt. Die aktuelle Weltordnung neigt sich dazu, die Welt in Imperien mit ihren Einflusszonen zu teilen, wonach kleine Länder kaum im Genuss der Freiheit kommen könnten, sondern sich hörig gegenüber stärkeren Ländern verhalten. Der Despotismus wurde im Laufe des letzten Jahrzehnts immer Feudaler oder Imperialer: z.B. ist Syriens Diktator al-Assad oder Lukaschenko von Belarus nun Vasallen des möchtegern-Imperator Putin. Die Europäische Union soll auch nicht davor scheuen überzeugte Demokraten als Asylanten aufzunehmen, da diese öfters mehr von Idealen Europas, wie die Demokratie, überzeugt sind als die Europäer Selbst. Im Kampf gegen den stärker werdenden Autoritarismus müssen unter anderen auch Frauen unterstützt werden, da viele Diktaturen, wie jene des Irans und jenes der afghanischen Talibane Frauenrechte immer mehr mit Füßen treten, während die Handlanger KP Chinas und die (Söldner-)Truppen Putins Frauen anderer Völker foltern, vergewaltigen und Töten. Der Feminismus im Westen ist m.E. zu amerika- oder europazentrisch geworden, als würde keine Frau jenseits des Westens Rechte haben oder täglich für „Frau, Leben, Freiheit“ manifest eintreten. Auch die Art und Weise wie gewirtschaftet wird soll umgedacht werden: im Westen soll man in Zukunft bereit sein härter zu arbeiten als abhängig von gefährlichen Psychopaten zu sein. Vorsicht ist m.E. die vernünftige Einschätzung potentieller zukünftiger Handlunge, Ereignisse oder/und Umstände. Zur Vorsicht soll man gemahnt werden um zu rationalen Taten ermutigen, anstatt von lustgetrieben Entscheidungen, dessen Ziel es ist, Sorgen zu vergessen, die durch unvernünftigen Konsum kaum mehr zu vergessen sind. Im Übrigen bin ich auch mit dem Philosophieparadoxon einverstanden, dass was nichts nützt, aber nichts schadet, wichtig ist für das funktionieren de Gesellschaft. Symbolische Handlungen sind nie nur symbolisch, da sie m.E. unsere Urteilskraft und unsere Entscheidungen beeinflussen.

Julien Sita, 12. März 2023.

Siehe auch:

Ansari, Al Rachid. La révolution iranienne, vingt ans après. In: Politique étrangère, n°1 – 2000 – 65ᵉannée. pp. 81-93. www.persee.fr/doc/polit_0032-342x_2000_num_65_1_4912.

Mourad Chabbi: Désir mimétique et engrenage guerrier des Janus du Golfe. Téhéran et Riyad à la manoeuvre. https://www.erudit.org/fr/revues/ei/2016-v47-n2-3-ei03031/1039540ar.pdf.

Pierre Pahlavi: La politique iranienne des États-Unis : oscillations et continuité
([1900] 1977- 2020). https://www.erudit.org/fr/revues/ei/2021-v52-n1-2-ei06822/1086931ar.pdf.

Michel Fortmann: Le monde à l’heure du nouveau désordre nucléaire. The Emerging Nuclear Disorder. https://www.erudit.org/fr/revues/ei/2021-v52-n1-2-ei06822/1086935ar.pdf.


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Clipeus virtutis (de reges ?)

Kaiser Augustus bekam im Januar 27 v.Chr. einen „(Ehren-)Schild der Tapferkeit“ vom Senat verleihen ausser der Tapferkeit – an dem er in Wahrheit mangelte und die Schlachten eigentlich von seinen Generälen gewonnen wurden – werden auch die Tugenden der Milde, Gerechtigkeit und Frömmigkeit genannt.

Spannend wäre auch zu wissen in wie fern diese vier Tugenden in der augusteischen Zeit auch Königen Roms zugeschrieben wurden. Unter anderen dem Augustus freundlich gesinnten Geschichtsschreiber Titus Livius.

Die römischen Könige sind vor allem Legendär und laut deutschen Historikern sind nicht einmal die Namen der Könige sicher, aber die Attribute und Taten, die den Königen retroaktiv zugeschrieben wurden, sind nicht nur Fiktionen oder zumindest verworrene Halbwahrheiten, sondern auch eine Projektion eines guten oder schlechten Herrschers je nach den moralischen Standarten der Mittleren und Späten Republik. Die Römer fingen mit ihrer Geschichtsschreibung um 200 v.Chr. an, wobei deswegen die Überlieferungen die über die Geschichte Roms von 753 bis 293 v.Chr. erzählen kaum getraut wird.

Forschungsartikeln zu den exempla des Titus Livius von J. Chaplin „Livy’s Use of Exempla“ in B. Mineos Herausgeber von „A Companion to Livy“ (Malden (MA), 2015, S. 102-113) und J. Deininger „Livius und der Prinzipat“ in Klio 67 (1985), S. 265-272 werden für dieses Nachforschung benutzt.

Julien Sita, 7. März 2023.

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